Institut de recherche " Andishe Online-Germany (AOG) "
Thèmes de l'université


OSF:
English:
https://doi.org/10.17605/OSF.IO/EGMPC
Persian:
https://doi.org/10.17605/OSF.IO/W3M58
French:
https://doi.org/10.17605/OSF.IO/ETXPS
Spanish:
https://doi.org/10.17605/OSF.IO/DKSEQ
German:
https://doi.org/10.17605/OSF.IO/ZW47U
Arabic:
Article Metadata
Author: Faramarz Tabesh
ISNI: 0000 0005 2737 2290
Affiliation: Founder and Director, Research Institute Andishe Online Germany (AOG)
ISNI: 0000 0005 2724 714X |
Ringgold ID: 823032
Journal: Andishe |
ISSN: 1619-9898
Article Type: Interdisciplinary Sciences (also known as Integrative Sciences)
Keywords:
Ontology, Cognitive Discussion, Scientific Analysis, Conceptual Misconceptions, Epistemology, Interdisciplinary Critique, Philosophy of Mind.
Publication Dates:
Persian (Original Edition): Published on October 30, 2019
Persian (Revised Edition): Published on September 1, 2025
English, German, French, Spanish, and Arabic Editions: Scheduled for publication on September 1, 2025
Archive Code:
Hwg unl jsh,d hkvCdög fhlül,uhkvCd hüchM_tvhks,d
Article en format audio pour les malvoyants en bas de page
Ontologie, Physique quantique, Biologie, Physique
Principe de la non-équivalence entre l’énergie
totale et la somme de ses composantes :
un modèle théorique novateur en sciences intégratives fondé sur l’ontologie d’Ostad Elahi.
À l'occasion du 130ᵉ anniversaire de la naissance d’Ostad Noor Ali Elahi (1895-1974), éminent penseur dans les domaines de la
spiritualité et de l'ontologie, nous rendons hommage à sa pensée et à ses travaux à travers la présentation de cet article.
Abstract
Cet article vise à examiner de manière critique certains fondements épistémologiques de la science et de la métaphysique. Fondé sur la perspective ontologique d’Ostad Elahi, le principe de « non-équivalence de l'énergie totale avec la somme de ses parties » est présenté comme une base théorique permettant l'élaboration d'un cadre novateur à l'intersection de la physique, de la biologie et de l'ontologie. Selon ce principe, les systèmes complexes ne se réduisent pas simplement à la somme de leurs parties, mais intègrent des propriétés émergentes qui les dépassent. L'objectif de cette théorie est de jeter les bases d'une intégration plus profonde entre la science académique et la métaphysique moderne, offrant ainsi la possibilité de transformer notre compréhension de la structure de la réalité existentielle.
À l’Institut de Recherche Andishe Online Germany (AOG), nous affirmons :
"Dans les deux prochaines décennies, un nouvel ordre dominera la planète Terre : l’une des caractéristiques déterminantes de ce nouvel ordre sera une transformation fondamentale de l’ensemble des domaines scientifiques. À l’heure actuelle, nous ne faisons qu’en établir les cadres préliminaires."
Cette recherche est accessible en anglais, persan, français, allemand, espagnol et arabe.
Préface
Comme le savent bien les passionnés d’histoire des sciences, à la fin du XIXᵉ et au début du XXᵉ siècle, un nouveau domaine scientifique a progressivement émergé, connu sous le nom de
mécanique quantique¹. Les fondements de cette discipline remontent aux travaux pionniers de
Max Planck² sur la quantification du rayonnement électromagnétique émis par les corps noirs. Il semble que Planck fut le premier, à l’ère moderne, à utiliser le terme
«quantum» pour désigner une unité discrète et extrêmement petite.
Suite aux recherches de Planck, Werner Heisenberg³ formula en 1927 le Principe d’Incertitude⁴. Grâce à cette contribution et à d’autres significatives, il fut reconnu comme le père de la mécanique quantique. À la même époque, une série de développements scientifiques révolutionnaires annonça le déclin de la pensée cartésienne – newtonienne⁵. Par exemple, Albert Einstein⁶ publia un article arguant que les équations newtoniennes ne sont valides que sous des conditions limitées⁷. Approximativement durant cette même période, Max Born⁸, Werner Heisenberg et Pascual Jordan⁹ développèrent la mécanique matricielle¹⁰. En 1926, Erwin Schrödinger¹¹ introduisit sa « formulation de la mécanique quantique » , connue sous le nom d’ « équation d’onde » . Cette même année, John Hasbrouck Van Vleck¹² publia son ouvrage influent Quantum Principles and Line Spectra¹³. À cette époque, de nombreux autres scientifiques éminents commencèrent également à théoriser sur un nouveau paradigme rapidement appelé « mécanique quantique ».
Tous ces développements qui conduisirent à l’émergence de la mécanique quantique — qu’il s’agisse des formulations et calculs mathématiques, dont certains furent accueillis avec scepticisme en raison de résultats infinis¹⁴ ou non physiques, ou des interprétations philosophiques et probabilistes telles que le paradoxe du chat de Schrödinger¹⁵ et d’autres approches qualifiées par Albert Einstein d’idéalisme des physiciens¹⁶ — véhiculèrent collectivement un message profond. Ce message était clair : l’ère de la pensée scientifique ancrée dans une vision rigide et unidimensionnelle newtonienne –cartésienne touchait à sa fin. Il devenait impératif d’aborder les phénomènes avec un regard nouveau et selon des perspectives fondamentalement différentes.
Aperçu succinct de l’ontologie du Maître Elahi
Près d’un siècle s’est écoulé depuis l’émergence de la pensée quantique heisenbergienne, et pourtant, comme Einstein lui-même le déplorait,
« elle ne nous a pas rapprochés d’un pas du mystère de l’Ancien [Dieu]. »
À l’instar de nombreuses autres disciplines scientifiques, la mécanique quantique a finalement démontré son incapacité à expliquer l’origine de l’univers¹⁷.
Dans un tel contexte, le besoin d’un nouveau cadre — ouvrant une fenêtre différente pour observer et réinterpréter les forces qui façonnent le tissu de l’existence — se fait depuis longtemps sentir. Avec l’avènement des sciences intégratives¹⁸ à l’Institut de Recherche Andishe Online Germany (AOG), enracinées dans les enseignements ontologiques du Maître Nourali Elahi¹⁹, ce moment est arrivé. Il est temps de dépasser le paradigme quantique heisenbergien et de redéfinir les frontières du savoir.
Une revue des articles publiés jusqu’à présent dans la section Sciences Intégratives de notre institut de recherche, AOG, suggère qu’un changement significatif de perspective scientifique est déjà en cours — un changement de plus en plus reconnu par les experts et les observateurs avisés.
Il y a près de quinze ans, au moment où je compilais mes notes de recherche manuscrites— collectées sur de nombreuses années antérieures — j’ai revisité l’un de mes premiers articles portant sur cette même problématique. En concevant plusieurs graphiques et en formulant ses principes fondamentaux mathématiquement, j’ai finalement exprimé mes conclusions sous la forme d’une inégalité scientifique. Le 5 avril 2019, j’ai publié cette formulation — sous le titre Phase Deux : Analyse du Stade Inorganique²⁰ (Stade Minéral) — dans la section Sciences Intégratives de l’AOG. Cependant, j’ai délibérément évité d’expliquer la théorie à ce moment-là. Pour interpréter ce concept de manière appropriée, il était d’abord nécessaire d’extraire, d’analyser et de publier les principes ontologiques fondamentaux issus des enseignements d’Ostad Elahi — principes qui serviraient de contexte explicatif. Un exemple déterminant est le suivant :
- La matière possède-t-elle également une dimension quantique²¹ ? Si oui, comment doit-elle être définie et décrite de manière à la sortir du domaine de la superstition et de la pseudoscience, pour la placer fermement dans le cadre d’une discipline scientifique crédible ?
- Il était nécessaire de proposer une définition plus profonde et affinée du champ magnétique²², dépassant la compréhension conventionnelle actuellement enseignée dans les universités et autres institutions académiques.
- Les particules subatomiques²³, y compris les fermions et antifermions, devaient être réexaminées sous un angle différent — en particulier dans le cadre ontologique introduit par le Maître Elahi — afin de mieux comprendre leurs comportements et interactions, qui conduisent finalement à la cohésion de la matière.
- Il était essentiel d’expliquer les deux sources primaires d’énergie²⁴, dont toutes les autres formes d’énergie — au sein d’un ou plusieurs multivers²⁵ — sont nourries.
- Le spectre complet des réseaux d’intelligence²⁶, des formes les plus simples aux plus complexes, devait être analysé dans une perspective audacieuse, nouvelle et quelque peu révolutionnaire, tout en le rendant accessible aux chercheurs.
- Et, bien entendu, de nombreux autres sujets fondamentaux ont dû être abordés afin de préparer la formulation de théories telles que la théorie des Quantomagnétiques27 et celle présentée dans cet article de recherche.
À ce stade, il est important de reconnaître que pour que de telles théories obtiennent une légitimité scientifique mondiale, des recherches pratiques complémentaires dans les laboratoires modernes des institutions académiques sont indispensables.
Par conséquent, nous invitons chaleureusement tous les chercheurs travaillant dans les domaines concernés, au sein des universités de premier plan à travers le monde, à collaborer avec nous pour élargir cette fenêtre nouvellement ouverte et explorer un horizon scientifique inédit.
L’un des défis fondamentaux qu’aucune branche des sciences académiques traditionnelles — qu’il s’agisse de la mécanique quantique, de la physique des particules ou de la biologie — n’a encore abordé réside dans la question de la relation entre le tout et ses parties. Ces disciplines restent largement contraintes par les modes de pensée cartésiens–newtoniens.
Le principe de la non-équivalence entre l’énergie totale et la somme de ses composantes
Je crois que le moment est désormais venu de présenter cette théorie — rendue possible grâce à l’analyse et à l’interprétation de l’ontologie introduite par Ostad Elahi à l’Institut de recherche AOG, dont certains aspects ont été évoqués ci-dessus.
Je considère cette question comme l’une des plus critiques sur le plan scientifique et académique, car elle joue un rôle fondamental dans l’explication de la dimension quantique de la matière — de la structure d’un atome simple à celle d’un être hautement complexe tel que l’humain. De plus, elle offre des perspectives révélant certains mystères de la création elle-même.
Selon ce principe :
« Dans tout système biologique, l’énergie totale du tout est toujours supérieure à la somme des énergies de ses parties constituantes. Cette différence augmente progressivement avec le temps. »
Note 1 :
Il est important de souligner que dans cette théorie, l’énergie est comprise comme englobant à la fois l’énergie proprement dite et l’information. Cependant, puisque cette information est stockée sous forme de codes magnétiques spécifiques dans des bases de données spécialisées situées dans la dimension quantique de la matière, l’ensemble du système est considéré comme un système énergétique, bien que défini par un ensemble unique de paramètres.
Note 2 :
Le terme
« âme » est une expression classique désignant ce que nous définissons comme la deuxième dimension de la matière, à savoir le champ magnétique quantique de la matière. Nous avons fourni des définitions détaillées et une clarification conceptuelle de cette idée dans notre cadre théorique.
Note 3 :
Chaque phénomène et entité de l’univers est vivant, dynamique et possède sa propre forme de conscience, en état constant d’expansion. Le concept de
« mort », dans ce contexte, n’est rien d’autre qu’une transformation. Par conséquent, il est non seulement approprié, mais nécessaire d’examiner chaque composant et être de l’univers comme une unité vivante et consciente.
Note 4 :
Aucune entité dans l’univers ne régressera jamais à un niveau de conscience inférieur à celui qu’elle possède actuellement. Le mouvement est toujours ascendant, des états inférieurs aux états supérieurs. Cependant, dans le cas de l’espèce humaine, cette trajectoire peut, dans certaines circonstances, suivre un schéma légèrement différent.
Note 5 :
Toutes les unités d’existence dans l’univers, malgré leurs formes variées, partagent un but commun et fondamental :
Maximiser l'utilité et prévenir le préjudice, afin d'assurer leur propre lutte pour la survie.
Note 6 :
La lutte pour la survie est une force motrice qui pousse chaque unité d’existence vers un état plus stable. Cette progression constitue un processus localisé de perfection, qui vise ultimement à atteindre l’état final ou ultime de perfection pour cette unité donnée.
Note 7 :
Les champs magnétiques — c’est-à-dire la dimension quantique — de toute entité matérielle, une fois qu’ils ont acquis toute l’information accessible à ce niveau spécifique, rompront leur connexion avec la dimension matérielle et se libéreront de son confinement. Cette séparation est la raison principale de la décomposition ultérieure de la dimension matérielle.
Note 8 :
Lorsque la dynamique interne d’une unité d’existence devient si subtile que les changements ne se produisent qu’au niveau des excitations minimales, la discussion ne concerne plus l’aspect matériel de cette entité. À ce stade, nous sommes entrés dans la dimension non matérielle et quantique du phénomène. Tout au long du présent article, chaque fois que le terme
« état quantique » est utilisé, il fait spécifiquement référence à cette condition décrite ci-dessus.
Note 9 :
Dans cette étude scientifique, une étape spécifique du processus de transformation au sein de la phase minérale a été examinée. Il est important de noter que les termes
« nuage quantique créatif »,
« nuage quantique » ou
« champ magnétique » sont utilisés pour décrire la notion classique d’âme.
Pour mieux comprendre ce concept, veuillez vous référer au graphique suivant :

Explication du graphique précédent
Ce diagramme illustre comment un nuage quantique créatif — c’est-à-dire le champ magnétique ou la dimension quantique de la matière — se détache de son hôte matériel après avoir accompli un segment de son parcours évolutif. Bien que le processus soit complexe, il peut être exprimé en termes plus accessibles afin d’en faciliter la compréhension générale :
« Au niveau quantique, les nuages créatifs individuels (ou champs d’énergie) se séparent les uns des autres parce que la force cohésive qui liait autrefois l’ensemble du système en coopération et interaction a, dans ce cas précis, atteint son expression optimale. Plus précisément, l’âme minérale du marbre a désormais atteint l’état le plus stable et complet possible au sein de cette phase — par conséquent, elle s’est séparée du tout matériel. »
Dissociation du champ magnétique du minéral de sa composante matérielle
La séparation du
« champ magnétique minéral » du système matériel se produit une fois qu’il a acquis une expérience suffisante — ce que l’on peut qualifier de perfection segmentaire — pour devenir capable d’apprendre et d’appliquer des mécanismes assurant la stabilisation de la survie du système à son niveau le plus élevé possible. Cette capacité et cette compréhension émergent des interactions continues entre les composantes du système et leur environnement, visant à maximiser le bénéfice et à minimiser le préjudice pour l’ensemble du système. Ce processus de développement se déroule sous la supervision de l’âme, ou, plus précisément, de ce que l’on peut définir comme le
« champ de super-création » — c’est-à-dire le champ magnétique quantique associé au système.
Cependant, en raison des limitations scientifiques actuelles, ce processus reste largement hors de portée de toute validation empirique. D’une part, les instruments ultra-sensibles nécessaires à la réalisation des expériences correspondantes ne sont pas encore disponibles. D’autre part, des conceptions erronées concernant la nature de la matière et de l’énergie empêchent les chercheurs de réaliser des observations et mesures simultanées à très haute précision — une limitation inhérente, déjà mise en évidence par le principe d’incertitude de Heisenberg.
Par conséquent, la compréhension de l’inégalité suivante — même au sein des milieux académiques — demeure un défi majeur. J’ai formulé cette inégalité comme suit :
Etotal > Edo. + Eca. ⇒ Etotal – (Edo. + Eca.) = PΨx
⇒ Etotal = Edo. + Eca. + EPΨx
Edo. = Énergie de la dolomite
Eca. = Énergie de la calcite
PΨx = Un champ magnétique perfectionné de la matière, prêt à se détacher de sa structure matérielle correspondante.
Dans mon ouvrage Biologie de la Deuxième Dimension, j’ai traité ce sujet de manière plus détaillée — en particulier dans le contexte de la formation de la dimension quantique de l’oxyde de calcium, suivie de sa progression évolutive vers la création du champ magnétique du carbonate de calcium (calcaire), lequel se situe un ou plusieurs niveaux au-dessous du marbre sur l’échelle évolutive. Ce processus est analysé comme suit :
En termes mathématiques :
CaCO3 ⇾Après le processus de décomposition⇾CaO + Co2 +Ψ
Ψ
= Un nuage quantique, qui représente une unité limitée d'expérience et de conscience correspondant à son niveau spécifique d'existence.

Cela signifie qu’une fois que la progression évolutive du « champ magnétique minéral » atteint son achèvement à un niveau donné, celui-ci se détache du système matériel. En conséquence directe, les éléments constitutifs de ce système commencent à se séparer.
« Cette séparation se produit parce que la force unificatrice — qui, jusqu’à ce point, maintenait la cohérence interne et l’interaction mutuelle entre les composantes du système et leur environnement — n’est plus présente.
Cet événement représente ce que l’on pourrait, dans le langage traditionnel, appeler la mort, non seulement dans les systèmes biologiques mais à travers tous les niveaux de la création, y compris dans le cas de l’être humain. »
Dans ce processus, ce qui se produit effectivement, c’est que le carbonate de calcium, dès le tout début de sa formation moléculaire, sert de terrain nourricier pour un nuage quantique. Autrement dit, à travers les interactions continues entre ses composantes — carbone, oxygène et calcium — et entre l’ensemble du système et son environnement au niveau quantique, ce nuage quantique évolue progressivement et avance vers son stade intermédiaire prédéterminé de développement au sein de la dimension quantique, correspondant à un niveau ontologique spécifique — à savoir le calcaire.
Cette maturité intermédiaire et ce développement évolutif signifient une accumulation graduelle d’énergie (telle que définie dans notre cadre théorique), culminant, à l’étape finale du processus, dans l’émergence de la turquoise, un minéral considéré à la fois comme énergétiquement mûr et ontologiquement distinct.
Ainsi, lors de la désintégration du système — lorsqu’au minimum le calcium et le carbonate se dissocient — un autre composant se sépare simultanément : l’âme minérale, ou le champ magnétique quantique associé au calcaire.
C’est précisément à ce stade que la non-équation précédemment proposée prend toute son importance. Elle est applicable à tous les niveaux de la création qui sont soumis à une trajectoire évolutive consciente, du moins dans le cadre planétaire terrestre.
En outre, pour déterminer la valeur énergétique de « l’âme » dans cette non-équation, le temps — en tant que quatrième dimension²⁸ — joue un rôle essentiel.

Pour comprendre pleinement cette inégalité, il est essentiel de saisir que l’énergie de l’âme — ou du nuage quantique directeur — augmente progressivement au fil du temps et n’est pas constante.
À ce stade, il est crucial de noter que nous n’avons pas encore élucidé le mécanisme d’absorption (ou de réplication) de ces champs magnétiques, également appelés « âmes », depuis leur lieu de stockage au sein de trois dimensions quantiques situées dans une région spatiale spécifique, ni leur connexion à leur dimension matérielle respective lors de leur première manifestation matérielle sur les corps planétaires.
Nous nous sommes abstenus de le faire car la présentation simultanée de ces sujets rendrait le discours si complexe qu’il ne serait peut-être accessible qu’à ceux qui possèdent une compréhension complète de l’ontologie de Maître Elahi — un nombre d’individus très limité.
Par conséquent, pour l’instant, nous nous concentrerons uniquement sur l’émergence de ces champs magnétiques spécifiques, ou « âmes », en relation avec le comportement combinatoire des particules subatomiques, des atomes, des molécules et des organes biologiques. Dans de futurs articles, cependant, une fois que la dimension quantique des corps physiques aura été suffisamment et rigoureusement explorée d’un point de vue scientifique, nous reviendrons sur ce sujet en profondeur.
Thèmes de l'université
La structure de l'existence entière
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La structure de l'existence entière
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Les principes de foi d'Ostad Elahi
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Les principes de foi d'Ostad Elahi
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DUALISME :
LE MONDE DE LA PÉNOMBRE
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DUALISME :
LE MONDE DE LA PÉNOMBRE
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DUALISME :
LE MONDE DE LA PÉNOMBRE
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DUALISME :
LE MONDE DE LA PÉNOMBRE
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(Barzakh)
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Réincarnation ou méthode ascendante ?
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Réincarnation ou méthode ascendante ?
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Réincarnation ou méthode ascendante ?
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Apparition de caractéristiques instinctives
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Les étapes mentales du processus de perfectionnement
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Les prophéties de Maître Elahi

Recherche de Faramarz Tabesh
Code de l’article dans les archives de l’Institut de Recherche Andishe Online Germany (AOG) :
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References
All explanations are provided by Faramarz Tabesh.
[1] Quantum mechanics is a fundamental branch of theoretical physics that deals with physical phenomena at microscopic scales. At this scale, physical actions are on the order of Planck’s constant.
The Feynman Lectures on Physics, Volume III: Quantum Mechanics
Author: Richard P. Feynman
Coauthors: Robert B. Leighton, Matthew Sands
Publisher: Addison-Wesley, 1965
ISBN: 978-0465025015
[2] Max Planck: Born April 23, 1858 – Died October 4, 1947. One of the most important German physicists of the 19th and early 20th centuries. He is considered by some as the father of quantum theory.
"Quantum: Einstein, Bohr, and the Great Debate about the Nature of Reality"
Author: Manjit Kumar
ISBN: 978-0393339888
[3] Werner Heisenberg: Born December 5, 1901 – Died February 1, 1976. German physicist and Nobel laureate, one of the founders of quantum mechanics. He is known as the father of quantum mechanics.
"Uncertainty: The Life and Science of Werner Heisenberg"
Author: David C. Cassidy
Publisher: W. H. Freeman
ISBN: 978-0716725035
[4] Heisenberg’s Uncertainty Principle: One of the foundational concepts in quantum mechanics, stating that it is impossible to simultaneously measure the position and momentum of a particle with arbitrary precision. (Persian)
https://www.andishe.online/newpage76048046
Richard Feynman, The Feynman Lectures on Physics, Vol. III
Chapter 1: Quantum Behavior
https://www.feynmanlectures.caltech.edu/III_01.html
[5] Cartesian–Newtonian Worldview: Refers to a scientific, philosophical, and mechanical view of the world formed in the 17th and 18th centuries. This worldview formed the basis of many classical sciences (before quantum mechanics and relativity) and deeply influenced philosophy, physics, biology, psychology, and even theology.
Capra, Fritjof. The Turning Point: Science, Society, and the Rising Culture.
• Publisher: Bantam Books
• Year: 1982
• ISBN: 978-0553345728
[6] Albert Einstein:
Brian Greene. The Elegant Universe
Publisher: W. W. Norton & Company
Year: 1999
ISBN: 978-0393338102
In this book, American physicist Brian Greene clearly explains how Einstein’s theories fundamentally replaced Newtonian physics.
[7] Albert Einstein’s Theory on Newtonian Physics: There is a credible and global scientific source. This is part of the foundation of Einstein’s general relativity theory, where he shows that Newton’s laws (classical mechanics) are valid at low speeds and weak gravitational fields, but must be replaced in extreme conditions (such as speeds close to light or strong gravitational fields).
Article Title:
"Die Grundlage der allgemeinen Relativitätstheorie"
(Translation: The Foundation of the General Theory of Relativity)
Author: Albert Einstein
Year: 1916
Published in: Annalen der Physik
DOI: 10.1002/andp.19163540702
[8] Max Born – Biography – Nobel Prize Official Website
Link:
https://www.nobelprize.org/prizes/physics/1954/born/biographical/
Description:
This official Nobel Prize page includes a short biography, scientific achievements, and information about Max Born’s life and work.
[9] Pascal Jordan – Biography – MacTutor History of Mathematics Archive
Link:
https://mathshistory.st-andrews.ac.uk/Biographies/Jordan/
Description:
This page from the University of St Andrews mathematics history archive offers a full and reliable biography of Pascal Jordan, along with his scientific achievements and role in the development of quantum mechanics.
[10] Matrix Mechanics – Encyclopaedia Britannica
Link:
https://www.britannica.com/science/matrix-mechanics
Description:
This Britannica article introduces matrix mechanics as the first complete form of quantum mechanics, developed by Werner Heisenberg, Max Born, and Pascal Jordan in the 1920s.
[11] Erwin Schrödinger – Biography – Nobel Prize Official Website
Link:
https://www.nobelprize.org/prizes/physics/1933/schrodinger/biographical/
Description:
This official Nobel Prize page includes biography, scientific achievements, and comprehensive information about Erwin Schrödinger, one of the founders of quantum mechanics.
[12] John Hasbrouck Van Vleck:
An American physicist and mathematician awarded the 1977 Nobel Prize in Physics for his work on magnetic systems and disordered systems.
John Hasbrouck Van Vleck – Biography – Nobel Prize Official Website
Link:
https://www.nobelprize.org/prizes/physics/1977/van-vleck/biographical/
Description:
This official Nobel Prize page includes biography, scientific achievements, and Van Vleck’s important role in developing theoretical physics, especially quantum magnetism.
[13] Quantum Principles and Line Spectra: Van Vleck, J. H. (1932). Quantum Principles and Line Spectra. New York: Van Nostrand Reinhold Company.
[14] According to us at the Research Institute Andisheh Online Germany(AOG) and based on Ostad Elahi’s ontology, any equation that results in infinity is fundamentally incorrect.
[15] Schrödinger’s cat: Baggott, J. (2011). The Quantum Story: A History in 40 Moments. Oxford University Press. Or refer to the article 'Superstition, an inexplicable concept' at this link: https://www.andishe2.online/en-philosophy--superstition--an-inexplicable-concept
[16] The idealism of physicists: Albert Einstein’s letters to Max Born about quantum mechanics were exchanged over a long period and in several instances. However, one of the most famous letters, in which Einstein wrote the well-known phrase:
"I, at any rate, am convinced that He does not play dice."
dates back to 1926.
Historical context:
• At that time, quantum mechanics had just been developed by scientists such as Heisenberg, Born, and Schrödinger.
• Although Einstein contributed to the founding of quantum mechanics, he opposed the Copenhagen interpretation, which emphasized randomness and uncertainty.
• In his letters to Max Born, he repeatedly expressed serious criticisms about the philosophical and probabilistic aspects of quantum theory.
[17] In our research at the Research Institute Andisheh Online Germany (AOG), the universe in both its material and quantum dimensions is referred to as a causally influenced universe, which includes all multiverses.
[18] Integrated Sciences: By establishing a scientific framework based on Ostad Elahi’s ontology, which we named Integrated Sciences, the prospect of unifying some academic sciences such as quantum mechanics and particle physics with our intended metaphysics became possible.
[19] For more information about Ostad Elahi’s biography, please refer to:
https://www.andishe.online/newpage36172130
[20] Chapter Two: Study of the Jamadi Stage:
https://www.andishe.online/article-no-17--33
[21] Quantum Dimension: Refers to the spirit or a special magnetic field. For more information, please visit:
https://www.andishe.online/kopie-article-no-6--33
[22] Magnetic Field: From studying Ostad Elahi’s ontology, it appears that academic sciences are still in their early steps regarding understanding magnetic fields. In short: a magnetic field is much more complex than what scientists have discovered so far.
[23] Subatomic Particles: In Ostad Elahi’s explanation of creation, it seems that eleven forces or phenomena are considered by the original and eternal source of creation for the formation and expansion of multiverses. These phenomena are arranged sequentially, and although all have energy and the initial blueprint of creation, because each phenomenon arises from its predecessor, their information and energy levels cannot be the same. Therefore, in our research institute, the eleven fermions of the Standard Model are considered reflections of these eleven primary phenomena of creation, and the creation of the universe is explained based on this.
[24] Two Main Sources of Energy: From our perspective, there are two energy sources—dark energy (positronic) and light (electronic)—which influence all multiverses.
[25] Multiverse(s): The existence of multiverses has not been officially confirmed in academic communities, and hypotheses often mention infinite numbers of these worlds. Scientists await experimental evidence, but confirmation or rejection of these models is currently beyond the reach of human technology. Meanwhile, in Ostad Elahi’s ontology, this subject is explained structurally and purposefully. In these teachings, Ostad Elahi refers to eleven multiverses and considers Earth and several other planets located at the lowest position of the lowest multiverse.
[26] Intelligence networks: One of the important topics at the Research Institute Andisheh Online Germany (AOG). This subject discusses the connectivity and interaction of different operations with each other to achieve a more stable state in the universe.
[27] Quantomagnetics Theory: Published in six languages on the institute’s platform and global platforms. For more information, see:
https://www.andishe2.online/en--appearance-of-instinctive-characteristics--78
[28] Time as the Fourth Dimension: Since the energy of every existing unit is constantly increasing, time is recognized as a fundamental factor.
Les étapes mentales du processus de perfectionnement